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Le partenariat de Manuvie avec le CIFAR est une source de recherches novatrices à l’échelle mondiale depuis quatre décennies

 
13 septembre 2023

 

Il y a près de quarante ans, à l’occasion du 100e anniversaire de Manuvie, nous avons versé une contribution de 500 000 $ dans le cadre d’une nouvelle initiative de recherche en santé des populations menée par le CIFAR (L’Institut canadien de recherche avancé) – un nouveau partenariat venait de commencer qui allait durer des décennies et auquel Manuvie contribuerait près de 3 millions de dollars.

Le CIFAR est une organisation unique créée en 1982 pour faciliter les études qui font le pont entre les disciplines – notamment les sciences humaines, les sciences sociales et les sciences naturelles. Il était l'un des rares groupes mondiaux à prioriser les études interdisciplinaires à l’échelle internationale

 

L’initiative de recherche à l’origine de cette relation « a modifié le concept traditionnel de santé publique, nous a amenés à regarder au-delà de la maladie et à nous pencher sur les déterminants sociaux de la santé », précise Eugene Wen, vice-président, Analyse avancée, Fonctions communes. « Tous les programmes de développement social sont maintenant articulés autour de cette théorie. Et tout cela a vu le jour grâce à la recherche menée par le CIFAR, avec le soutien financier de Manuvie. »

Dr. Wen, ancien médecin et épidémiologiste, joue un rôle déterminant dans la relation entre Manuvie et le CIFAR depuis 2016. Lorsqu’une occasion s’est présentée au début de la pandémie d’appuyer le CIFAR dans la lutte contre la pandémie et dans le rétablissement au Canada, il n’a pas hésité à offrir son soutien, ce qui a mené à la création du Programme de subventions en santé des populations et en bien-être Manuvie-CIFAR, lequel a permis de financer six projets de recherche.

« La pandémie de COVID-19 est l’exemple parfait de l’importance de la recherche interdisciplinaire et mondiale, car aucune discipline à elle seule ni aucun pays ne peut résoudre ce problème par lui-même », a déclaré Leslie McCarley, vice-présidente, avancement au CIFAR.

En 2021, Manuvie a élargi notre relation avec le CIFAR par l’entremise d’un programme de subventions axé davantage sur la santé des populations. Par cette initiative, Manuvie finance sept projets de recherche, priorisant ceux qui correspondent à notre programme axé sur les effets ainsi qu’à notre engagement continu pour la santé et le bien-être durables.

  • Production et distribution équitables de vaccins – Leçons tirées d’une pandémie mondiale
  • Mesurer l’incidence des conditions de la petite enfance sur les maladies chroniques et le vieillissement en bonne santé
  • Études sur le microbiome au sein de communautés distinctes
  • Déterminants environnementaux du microbiome du lait maternel humain
  • Indicateurs stables et dynamiques de l’engagement et de la réussite en matière d’apprentissage à domicile
  • Révéler les mécanismes de causalité des perturbations environnementales sur la régulation de l’expression des gènes
  • Transformation des soins de santé : productivité, rendement et effets sur la main-d’œuvre de l’adoption de la robotique, de l’intelligence artificielle (IA) et des mégadonnées

À travers de la participation de Manuvie au CIFAR, à mesure que les résultats de cette recherche deviennent disponibles, nous pouvons les utiliser pour prendre des décisions commerciales, les partager avec d’autres et assurer un suivi auprès des chercheurs, au besoin.

 

Mais « nous n’intervenons ni n’influençons l’intégrité des recherches », a déclaré le Dr Wen.

Melissa Melby, professeure d’anthropologie à l’Université du Delaware, dirige un projet de recherche qui examine l’impact de l’industrialisation et d’autres facteurs liés au mode de vie sur le microbiome humain – ensemble des microorganismes qui vivent dans notre corps et sur celui-ci – en étudiant les membres de la tribu Joti, un groupe d’Autochtones vénézuéliens de la région amazonienne qui ne consomment que de la nourriture cueillie, chassée et cultivée localement. Il s’agit de l’un des projets que Manuvie finance dans le cadre de notre partenariat avec le CIFAR. La professeure Melby a toujours été fascinée par les interactions biologiques. Le désir de mieux comprendre la base chimique des interactions entre les plantes et les animaux, y compris les effets des plantes médicinales sur les humains, l’a poussée vers la chimie, qui, par la suite, l’a menée à étudier les facteurs biologiques et culturels environnementaux influant sur la santé humaine et, ultimement, vers l’anthropologie. Son travail englobe tous ces domaines. Une approche aussi interdisciplinaire demeure rare même aujourd’hui dans le domaine scientifique, mais elle estime que des solutions efficaces aux plus grands enjeux mondiaux l’exigent. « Les problèmes liés au changement climatique, à l’interaction humaine avec l’environnement, à la santé humaine, etc., ne seront pas résolus uniquement par la médecine, la biologie, la chimie, l’anthropologie », précise-t-elle. Le financement public priorise souvent la recherche au sein des disciplines, de sorte que des partenariats comme celui entre Manuvie et le CIFAR peuvent avoir un plus grand potentiel pour financer des approches novatrices et interdisciplinaires.

La même année où nous avons conclu notre partenariat avec le CIFAR, l’organisation a également financé une recherche sur l’intelligence artificielle (IA) soutenue par Geoffrey Hinton – reconnu comme le parrain de l’IA – qui a donné lieu à des percées dans la recherche sur les réseaux neuronaux qui ont conduit à la révolution de l’IA d’aujourd’hui!